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KIOWA-TANOAN

TOWA

 

JEMEZ

 

Le village pueblo de Jemez est situé sur une mésa de plus de 150 mètres de hauteur, en bordure du rio Jemez, confluent du Rio Grande, dans le centre du Nouveau-Méxique.

 

Au début du XVIIème siècle, les indiens de Jemez tuaient les prètres missionaires, sous l’impulsion des militaires qui en contre partie leur assurés la défense de leur village. Lors de la révolte des indiens Pueblos en 1680, les indiens de Jemez ont joué un rôle de meneurs, ce qui leur couta de véritables réprimandes par la suite de la part du conquistador Vargas.

Aujourd’hui, 95% de la population (1.500 indiens) de Jemez parle encore leur langue d’origine.

 

Le village pueblo de Jemez est resté un peu à l’écart des circuits touristiques pueblos.

 

KIOWA

 

Les indiens Kiowas vivent dans le centre de l’Oklahoma.

 

On recense aujourd’hui 6.000 indiens Kiowas, dont près de 20% parle encore leur langue d’origine.

 

 

TEWA-TIWA

 

TEWA

 

Les villages pueblo de Tewa sont les plus septentrional et ils sont installés sur les deux rives du Rio Grande, au nord de Santa Fe dans le Nouveau-Méxique.

Chaque village Pueblo Tewa était placé sous la domination de deux prêtres indigènes (les caciques). Certaines coutumes Tewa ont été influencées par les indiens des plaines.

L’univers des Pueblos Tewas est dÉlimité par quatre montagnes et quatre collines sacrées au centre desquelles se trouve le trou par lequel ce peuple à émerger du monde souterrain.

Avant l’arrivée des Espagnols, les villages Tewas étaient la proie de nombreux raids ennemis et notamment les indiens Navajos. Ils résistèrent avec courage aux raids des Navajos jusqu’en 1542, date à laquelle les Espagnols s’allièrent avec eux. A partir de 1525, ils attaquèrent les indiens pueblos au sud de Santa fé à l’est du rio Grande. Les indiens Keres étaient les ennemis des pueblos Tewa.

Aujourd’hui, la moitié des indiens Tewa continuent de parler leur langue d’origine, sur une population totale de 2.400 indiens.

 

HANO

Les indiens Hanos vivent dans la réserve Hopi en Arizona.

NAMBE

Les indiens Nambe sont assimilés aux pueblos. Sur les 175 indiens Nambe recensé, seul une petite cinquantaine parle le dialect Nambe.

 

POJOAQUE

Les indiens Pojoaque sont assimilés aux indiens Pueblos. Il reste une toute petite poignée d’indiens Pojoaque (40 individus), dont plus de la moitié parle le Pojoaque..

 

SAN IDELFONSOS

Sur les 500 indiens San idelfonso, près des ¾ utilise encore couramment leur dialecte d’origine..

 

Une des principales cérémonies des pueblos indiens de San Idelfonsos s’appelait “danse tablita”. Célébré en Juin et en Septembre, elle avait pour but d’amener les nuages de pluie.

 

SAN JUAN

Les indiens pueblos de San Juan vivaient dans la Vallée du Rio Grande.

 

Sur les 1.100 indiens San Juan recensé, un peu moins de la moitié parle encore leur dialect originel.

 

SANTA CLARA

Les indiens Santa Clara sont assimilés aux indiens Pueblos. On recense aujourd’hui 320 indiens Santa Clara, dont près de 200 parle le dialect Tewa.

 

TESUQUE

Les indiens Tesuque sont assimilés aux indiens Pueblos. On recense aujourd’hui 230 indiens Tesuque, dont 75% utilise encore le dialect Tesuque.

 

TIWA

 

ISLETA

Les indiens pueblos Isleta vivaient dans la Vallée du Rio Grande, dans le sud de l’Albuquerque, au Nouveau-Mexique.

 

Aujourd’hui, on recense 2.300 indiens Isleta, dont 1.600 parlent le dialecte Isleta.

 

PICURI

Le village pueblo de Picuri se situe à l’Est du pays Pueblo, dans le nord du Nouveau-Mexique. Les Picuris étaient des chasseurs de bisons, en dehors des périodes de récoltes.

 

Sur les 125 indiens Picuris, près de 75% d’entre eux utilise encore couramment le dialecte Picuri.

 

SANDIA

Le village Pueblo de Sandia se trouve dans le nord de l’Albuquerque, au Nouveau-Mexique.

 

Sur les 220 indiens Sandia actuellement, seul une quarantaine utilise le dialecte Sandia.

 

TAOS

Les indiens pueblos Taos vivent au Nouveau-Mexique, dans la partie orientale. Les Taos étaient une des rares tribus Pueblos à chasser le bison.

La tribu des indiens Taos était divisée en deux moitiés selon une distribution territoriale Nord-Sud auxquelles étaient soumis toutes les activités du groupe. Le Nord était considéré comme situé en haut (Hlauóma), alors que le Sud était en bas (Hlauqíma). Autrefois, le village de Taos était entouré d’un mur de protection.

Ils préparaient leurs cérémonies religieuses dans des Kivas (voir indiens Hopis).

Aujourd’hui, les villages Taos vivent essentiellement du tourisme. Les indiens ont conservés leurs maisons traditionnelles pour le tourisme, mais ils vivent en général dans des demeures pourvue de confort en dehors des réserves.

Les indiens Taos sont les seules indiens, encore aujourd’hui, à pratiquer encore le rite du Peytol.

Au début du XVIIème siècle, les indiens de Taos tuaient les prêtres missionnaires, sous l’impulsion des militaires, qui en contre partie leur assurés la défense de leur village. Lieu souvent dans l’histoire des premières révoltes Pueblos, Taos a été choisi par les rebelles néo-mexicain en 1847 pour reconquérir leur pays et leurs coutumes. Cerné dans l’église de Taos par les troupes Américaines, les 350 rebelles perdirent la vie, et le mouvement insurrectionnel s’expira avec lui.

Au milieu des années 1960, les indiens Taos réclamèrent, au gouvernement fédéral, les montagnes du Blue Lake confisqué en 1906 par les Américains. Les eaux de ces montagnes sont les principales ressources de vie des indiens Taos et, d’après les croyances Taos, elles ne doivent en aucun cas être souillés par aucun blancs. Ils refusèrent toute rémunération monétaire, et en 1974, Nixon leur restitua finalement les Blue Lake, haut lieu de la culture Taos, et 24.000 hectares de terres.

On recense aujourd’hui 1.000 indiens Taos, dont près de 800 parle encore leur dialecte d’origine.

 

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