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PUEBLOS

GENERALITES

 

 

Les pueblos vivent encore aujourd’hui sur les territoires du nord-est de l’Arizona et du nord-ouest du Nouveau-Mexique.

 

Dans les villages situés à l’est le long du cours supérieur du Rio Grande près des villes de Santa Fé et d’Albuquerque, les pueblos parlent les langues Kiowa-Tanoan et Keresan.

Par contre à l’ouest, en dehors de deux villages où l’on parle le Keresan, les pueblos sont originaires des langues Hopi (nord-est de l’Arizona) et Zuni.

 

Mode de vie :

 

Les villages sont composées de maisons en terrasse serrées les unes contre les autres. Les maisons sont réalisées en pierre ou en brique mêlée de paille séchée au soleil. Leur toit est plat et épais, et les pièces à l’intérieur sont carrées. Bâties en terrasses étagées, on accède au toit d’un niveau supérieur par une échelle amovible posée au niveau inférieur. Des pièces supplémentaires sont parfois juxtaposées aux murs existants.

Les Pueblos sont des indiens sédentaires vivant essentiellement de l’agriculture irriguée. Malgré les rudes conditions climatiques et désertiques (forte sécheresse l’été et gel durcissant le sol en hiver), les Pueblos réussissent à cultiver du maïs, des haricots, des pommes, des poires, des abricots… En 1930, après des conditions climatiques très sévères, une partie des Pueblos émigrèrent vers les villes.

Durant les périodes hivernales, les hommes organisent des battues pour chasser le petit gibier, principalement du lapin. Quant aux femmes, elles pratiquent la cueillette des plantes.

Les Pueblos sont reconnues pour leur art de la poterie, du tissage, des bijoux et de la vannerie. C’est vers le IIIème siècle de notre ère que les Pueblos découvrirent la vannerie. Les hommes, habiles tisserands, confectionnaient des vêtements de coton et de laine.

 

Histoire :

 

Les Pueblos sont les descendants d’un peuple connu sous le nom de “Basket Maker”.

Dès la fin du XVIème siècle, les conquistadors Espagnols tentèrent de christianiser par tous les moyens les villages Pueblos. Les intérêts des soldats espagnols et des conquistadors religieux s’opposaient souvent sur les moyens à mettre en ouvre pour christianiser les indiens. Les Pueblos, peu soucieux de ces conflits d’intérêts, profitèrent de ces disparités pour continuer en cachette leurs cérémonials religieux.

Mais à partir de 1680, après un siècle de colonisation, les Pueblos se révoltèrent, notamment à cause de l’esclavagisme. Ils réussirent à chasser les Espagnols de leur territoire pendant 12 ans. En représailles, les Espagnols massacrèrent tout le bétail et les lieux de cultes des Pueblos. Au cours de toutes les guerres indiennes, cet “exploit” n’a jamais été réussi par aucune autre tribu amérindienne. Pendant 12 ans, sans aucune protection espagnole, les villages Pueblos furent les lieux privilégiés des raids des indiens Apaches et Navajos. Les conflits entre village Pueblos se firent de plus en plus intense. Ruinés et massacrés par les conflits intertribaux et les raids incessants, les conquistadors espagnols n’eurent aucun mal à reconquérir les villages Pueblos en 1692. Voyant se profiler à l’horizon une nouvelle ère chrétienne, une grande majorité d’indiens se réfugièrent chez les Navajos préférant ne pas subir les lois hispaniques.

En 1779, les pueblos durent faire face à une épidémie de variole qui fit près de 5000 victimes.

Les villages pueblos furent les principales cibles des raids Navajos et Apaches entre 1840 et 1860. Zuñi, Jemez, Santo Domingo, Taos, Acoma étaient les villages les plus exposés à ces guérillas durant lesquelles, les Navajos pillaient littéralement les Pueblos de leurs biens. Mais ces derniers ne se laissaient pas intimidés, et, avec l’aide des Utes, ils organisaient des raids contre les troupeaux de moutons des Navajos.

Sédentaires et pacifiques, les pueblos intégrèrent une partie des rites chrétiens à l’intérieur de leur religion, ce qui leur valu une certaine reconnaissance de la part de leurs conquérants espagnols, puis mexicains. A la suite du traité de Guadelupe Hidalgo, les Espagnols accordèrent aux pueblos des droits de protection dans la jouissance de leur territoire. Puis les Mexicains leur donnèrent la nationalité mexicaine. Après l’annexion du Nouveau-Mexique par les Américains, en 1848, les pueblos se virent reconnaître la nationalité américaine. Cette situation va au contraire les déservir car ils ne furent plus reconnus comme des indiens à part entière. D’autre part, ils ne bénéficiaient pas des même droits que tous citoyens américains.

En 1913, la cour suprême concluait que le gouvernement des Etats-Unis devaient accorder les même droits envers les Pueblos du Nouveau-Mexique qu’envers les indiens des U.S.A.

En 1922, face à la tentation de la propriété foncière, les Pueblos réunirent un Conseil Général de tous les Pueblos et décidèrent d’arrêter les projets de lotissements.

Les Pueblos sont aujourd’hui 53.000 individus.

 

Coutumes :

 

Les sociétés Pueblos sont généralement scindées en deux symboles cosmiques : l’hiver et l’été. Les Pueblos possédaient une organisation sociale très complexe et structurée (clans, lignages et sociétés secrètes) avec de nombreuses règles et de nombreux tabous à respecter.

Avant la conquête espagnole, chaque village était autonome politiquement. Il était gouverné par un conseil des chefs des différentes sociétés religieuses. Les fonctions religieuses étaient assurées par un clergé institutionnalisé.

Le XIVème siècle marqua l’apogée de la culture des Pueblos. Cette culture complexe descendant des Adena-Hopewell, se développa grâce à l’agriculture et notamment une variété de maïs possédant une croissance plus rapide et pouvant apporter jusqu’à 2 récoltes par an.

Les Pueblos sont des indiens pacifiques, menant une vie calme et lente. Les décisions au sein du groupe sont prises de façon commune, où chaque individu donne son avis et respecte les décisions des autres. Chacun se sent donc pourvu d’une certaine dignité et d’un respect au sein du groupe. Les actes de cérémonies permettent de renforcer la cohésion du groupe.

Les Pueblos accordent une véritable importance au pouvoir de la terre qui représente pour eux l’origine de l’homme et le symbole de la vie. Les premiers hommes, leurs ancêtres, sortirent de la terre comme des plantes, et la lutte pour l’existence est symbolisée par la forme d’une migration à partir d’un monde souterrain.

 

CEREMONIES

 

Lors des retours de chasse, des danses sont organisées mimant en général la chasse avec une représentation des différents animaux. Une femme se met au centre de la danse et offre les bêtes aux différents chasseurs. Ces cérémonies ont pour but de communiquer avec les esprits des animaux, et de rendre hommage à la faune nourrissant les pueblos. Les Indiens enduisent la dépouille de l’animal avec du pollen et des perles.

Lors des cérémonies Pueblos, des clowns sacrées, portant des masques grotesques et protubérants, parodiaient la cérémonie et les katcinas. Ils renversaient les objets de cultes, insultaient le public,… Ils possédaient une agressivité extravagante qui avait pour fonction d’éliminer l’oppression quotidienne liées aux règles et aux tabous très stricts.

Aujourd’hui, malgré la colonisation et les pressions de toutes parts, les Pueblos sont très attachés à leurs cérémonies religieuses. Ils ont réussi à conserver une partie de leur culture en refusant systématiquement tout apport étranger pouvant nuire à leurs cérémonies et à l’équilibre de leur vie.

Les shamans Pueblos étaient souvent isolés et jugés associables. Suspectés de sorcellerie, ils risquaient de rompre l’équilibre au sein même du groupe.

Les peintures de sables des Pueblos sont généralement de dimensions réduites par rapport à celles des Navajos. Elles représentent souvent des nuages ou de la pluie. Exposées à l’intérieur des kivas, elles sont entourées de représentation des divinités modelées dans de l’argile.

 

 

 

 

 

 

LANGUES

 

Les Pueblos regroupent un ensemble de villages avec des caractéristiques architecturales, religieuses, sociales semblables, mais avec des origines linguistiques différentes.

 

LANGUE KIOWA-TANOAN

 

JEMEZ - ISLETA - NAMBE - PICURIS - POJOAQUE - SANDIA - SAN IDELFONSO - SAN JUAN - SANTA CLARA - TAOS - TESUQUE

 

LANGUE KERES

 

ZIA - SANTA ANA - SAN FELIPE - SANTO DOMINGO - COCHITI - ACOMA - LAGUNA

 

LANGUE ZUNI

 

ZUNI

 

 

ALCANFOR

 

Les Alcnafor vivaient au coeur du pays pueblo.

HOPI

La désignation du mot Hopi veut dire “le peuple pacifique”.

Les Hopis vivent sur les plateaux du Nord-Est de l’Arizona et du Nouveau-Mexique, le long du petit Colorado. Plusieurs petits villages forment l’ensemble de la nation Hopi.

Les indiens Hopis sont répartis dans 7 villages, confédérés les uns aux autres pour leur protection mutuelle (Oraibi, …). Chaque village Hopi est indépendant économiquement et politiquement. Les maisons sont disposées en terrasse de pierre et de terre serrées les unes contre les autres. Les murs sont fabriqués dans un mélange de pierre et de terre. Les villages Hopis situés sur des mesas, avec ceux des Acomas, sont les plus anciens villages occupés du Nord de l’Amérique.

Les maisons, généralement construites par les femmes, sont faites de pierre grossièrement taillée puis recouverte d’un enduit plâtreux. Les plafonds, soutenus par des mats et des poutres entrecroisées, sont composés d’un mélange de branchage et d’argile compressée. Les sols sont parfois dallés et les murs sont recouverts de motifs géométriques simples. Dans les anciennes maisons Hopis, il n’existait pas de fenêtre.

Les Hopis sont des agriculteurs sédentaires. Afin d’avoir de bonnes récoltes, ils sèment les graines de maïs profondément pour faciliter l’enracinement des plants. Ils cultivent aussi des haricots, des courges et quelques fruits. Ils élèvent des moutons et quelques chevaux. Les travaux agricoles sont généralement réservés aux hommes.

Le travail des femmes est essentiellement domestique et artisanal. Elles préparent le piki en moulant le grain mélangé avec de l’eau et un peu de cendre de bois. Elles tressent des paniers avec des brindilles de sumac. Elles travaillent la poterie, inspirée de la culture des Anasazis. Elles les décorent de motifs géométriques rouge, brun et noir.

Pour le travail du coton, les hommes ont la charge de la récolte du cardage et du filage du coton. Les femmes continuent le travail en teintant le coton des 5 couleurs du désert : jaune, orange, vert, noir, rouge.

Histoire :

 

Les Hopis sont considérés aujourd’hui comme les descendants directs des Anasazis. Ils auraient hérité du mode de vie de ces derniers et l’auraient adapté dans la région du Colorado et de l’Arizona. Au 14ème siècle, on notait déjà la présence d’indien Hopi sur les mesas du centre-Nord de l’Arizona.

Au milieu du XVIIème siècle, les Franciscains espagnols contraignirent, par la force des armes, les Hopis à se convertir au christianisme. Mais le résultat ne fut pas à la hauteur des espérances des conquistadors. A partir de 1650-1660, les Hopis renoncèrent petit à petit à célébrer leurs rites. Les prêtres catholiques interdisaient toutes célébrations de rites religieux dans les kivas. A la fin du XVIIème siècle, la sécheresse commença à sévir de plus en plus en Arizona. Accusant les prêtres catholiques d’être les seuls responsables de ce manque d’eau, les Hopi recommencèrent en cachette à célébrer leurs rites sacrés dans les kivas. Quelques semaines plus tard, la pluie refit son apparition. Les prètres chrétien furent alors immédiatement traité d’imposteur, ceux qui entraina le soulèvement des indiens pueblos contre les colons Espagnols (1680).

Avec l’arrivée de plus en plus massive de blanc, les Hopis, peuple pacifique, vont voir disparaitre petit à petit leur culture et leur tradition.

 

En 1971, traditionnaliste et réformistes, représentant en fait le conseil tribale élu, s’opposèrent sur l’exploitation à ciel ouvert d’une mine de charbon sur le site sacrée de la Black Mesa. Le contrat, signé entre le conseil tribal et la société d’exploitation, à fait l’objet de recours d’annulation de la part des indiens Hopis traditionnalistes, mais qui n’ont jamais pu aboutir faute de base juridique.

En 1990, on recensait 6.500 indiens Hopi, dont près de 80% utilise encore leur langue d’origine dans la conversation courante. Les Hopis sont un des rares peuples Amérindiens chez lesquels il existe un aussi fort attachement à leurs coutumes ancestrales.

 

Terres communes :

 

Les indiens Hopis furent perpétuellement en querelle contre les Navajos pour un problème de territoire que chaque tribu revendiquent. En 1837, les Navajos assaillirent le village de Nairobi et tuèrent tous le bétail et la moitié de la population. Ils s’installèrent sur ces terres conquises pour y faire paturer leurs troupeaux de moutons.

En 1882, les Américains autorisèrent les Hopis à se réinstaller sur cette bande de terre. A partir de cette date, les Navajos vont tous faire pour récupérer des droits sur ce territoire. En 1960, après maintes rebondissements juridiques pendant 30 ans, la cour fédéral reconnait des droits entiers et égaux sur le sol et le sous-sol du secteur de 1882. Mais les conflits vont resurgir et devenir de plus en plus violents : vol de bétail, blessés,… Certaines familles Navajos devront être relogés en ville. En 1983, les premières bases d’une réconciliation entre les deux groupes d’indiens, à propos du territoire commun, fut instauré par le chef Navajo.

 

Coutumes :

Les indiens Hopis sont groupés par clans exogames (les mariages entre membres d’un clan sont interdit). Certains clans sont liés par paires. De descendance maternelle, le système de lignage et d’appartenance à un clan est relativement complexe.

Les Hopis ont un système religieux très strict avec beaucoup de tabous et de règles de vie à respecter. Tous les évènements de la vie sont liès entre eux. S’il arrive un malheur au sein de la communauté, les raisons peuvent être multiples : personne qui vous veut du mal; règles communautaires qu’un indien n’a pas respecté;…..

Masau est considéré comme la divinité protectrice de la terre. Pratiquement au cours de toutes les cérémonies Hopi, des offrandes sont offerts à Masau. Masau est la divinité qui protège la terre et gouverne les morts. Les Hopis pensaient qu’ils apportaient la pluie.

 

 

La Kiva

 

La salle cérémoniale, la kiva, est une représentation de la cosmologie des indiens Hopis. A moitié enterrée, la kiva posséde en son centre un orifice menant aux regions souterraines de l’univers, le Sipapu, symbolisant l’endroit où les premiers hommes sortirent de la terre. Cette orifice conduit au Royaume des morts. Au centre de la kiva, se trouve un poteau représentant l’axe du monde, trait d’union entre la terre et le ciel. Sur les parois des kivas figurent des êtres humains, des animaux et des objets cérémoniels. Les hommes se réunissent dans ces kivas, où ils pratiquent le tissage, fument, prient, et préparent les danses cérémonielles. Chaque ancêtre totem fondateur d’un clan a confié aux membres de son clan l’entretetein d’une kiva et l’organisation des cérémonies qui s’y déroulent.

Après avoir traversé successivement trois mondes souterrains, les premiers Hopis surgirent de la terre à l’endroit qu’ils habitent encore aujourd’hui et qui pour eux est le “Quatrième Monde”. Masau, divinité protectrice de la terre, leur dit de migrer vers le nord, le sud, l’est et l’ouest jusqu’à ce qu’ils atteignent la mer, puis de revenir sur leur pas.

 

Les Katcinas

 

Les katcinas sont des représentation de danses masquées de toutes une variété de dieux, d’esprit, d’ancêtres, de nuages. Les masques des Katcinas sont toujours décorés de façon protubérante, avec des grands nez, des sourires déformés, des appendices…La Katcina du serpent est la plus importante car elle amène la pluie. Les Katcinas représentent toutes les forces de la nature et de la vie. Elles apportent l’aide aux Hopis dans leur récolte. Dès le mois de Janvier, les Katcinas descendent de leur montagne, et vont danser jusqu’au mois de Juillet dans les villages.

Les Katcinas décident et gouvernent chaque faits et geste de la vie des indiens Hopis. Elles décident des dates de récoltes, de plantation,…Les Hopis offrent de la nourriture aux Katcinas qui, en échange, offrent des cadeaux aux enfants (arcs, poupées, flêche,…).

Des hommes se vétissent entièrement avec les vêtements de Katcinas et représentent ses forces en dansant au cours de nombreuses cérémonies.

 

 

 

 

Cérémonies

Le passage de la puberté est une cérémonie très importante chez les Hopis. Les Katcinas infligent aux garçons des coups de fouet, et ces derniers subissent toute une cérémonie impressionante dirigé par les Katcinas et leur danses masqués. Les enfants sont souvent marqués à vie par ces rites religieux.

La “danse de la flute” était une cérémonie religieuse ayant pour but d’amener la pluie.

Lors des “danses du clan du Serpent”, chaque participant à la cérémonie danse avec un serpent vivant dans la bouche. Avant d’entamer la cérémonie, les danseurs font quatre fois le tour de la place en chantant. Cette cérémonie est une des plus anciennes danse Amérindienne et des plus spétaculaires. Elle est célébrée à la fin du mois d’Aout.

Les Hopis possèdent une très forte tradition culturelle ; c’est une des rares tribus à avoir conserver certaines cérémonies encore interdites aujourd’hui aux visiteurs blancs.

 

Rites

 

Des batons peints et décorés de plumes fixés par des cordons en coton étaient déposés en différents endroits près des sources et des sanctuaires autour du village pour implorer les esprits.

Chez les Hopis, un “guetteur de soleil” observait chaque jour l’astre pour déterminer les dates des solstices. Au solstice d’hiver, les Hopis célébraient la nouvelle année en honorant les deux esprits soeurs, Fille-Maïs-Bleu et Fille-Maïs-Jaune destiné à aider le retour du soleil.

D’après les Hopis, l’homme aurait une origine souterraine. C’est pour cette raison que les Hopis enterrent leur mort. Dans la tombe, ils disposent un long morceau de bois dirigé vers le ciel afin que l’âme du defunt aille rejoindre les ancêtres pour leur demander d’apporter la pluie.

La veille d’un mariage, les jeunes mariés allaient répandre de la poudre de maïs sur le bord orientale de leur Mesa. Puis le marié, aidaient des hommes de la famille, confectionnait deux robes blanches pour son épouse : une pour le mariage et une pour son linceul. Le mariage Hopi est monogame.

Aujourd’hui, l’influence du christianisme se fait ressentir notament dans les dates des cérémonies et dans l’observation de fêtes de saints.

 

PECOS

Les indiens Pecos vivent à l’Est du pays pueblo.

 

PUARAY

Le village de Puaray se situe sur les rives du Rio Grande.

 

SAN FELIPE
SAN GABRIEL

Le village de San Gabriel est situé en amont sur la rive du Rio Grande.

 

SIA

Le village de Sia est situé sur la rive Nord du rio Jemez à quelques kilomètres au-dessous de Jemez.

 

Pour avoir pris part à la révolte de 1680, le village de Sia fut totalement détruit par les Espagnols et un grand nombre de ses habitants furent massacrés en 1689. Le village fut reconstruit, et les habitants se rangèrent du coté des Espagnols.

En 1924, Sia n’abritait plus que 150 habitants.

 

Sia était réputé pour le travail soigné des articles en terre cuite.

 

TIGUAS

En 1716, les pueblos Tiguas subirent de nombreux raids des comanches et des Utes.

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